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Le superbe album instrumental de Marta Romàn et de son groupe The Blaxound est une brillante collection de soul cinématographique, de grooves changeants et de beaux arrangements de cuivres. Fortement recommandé par Neal Sugarman & Shawn Lee.Les Blaxound viennent de Barcelone et sont le projet autour de la très talentueuse Marta Romàn, qui écrit toutes les chansons elle-même, les produit dans son propre studio d'enregistrement et les termine avec l'aide de grands musiciens de la scène musicale locale. Particulièrement accrochée aux bandes sonores des films Blaxploitation des années 60 et 70, elle crée son son et s'appuie sur des arrangements de haute qualité. Le bon sentiment flotte immédiatement vers vous et laisse des traces dans votre canal auditif. Avec neuf morceaux matures sur leur album instrumental, The Blaxound touche le cœur des amis du funk instrumental et de la musique soul, un must pour les fans de Daptone !“Blaxound absolutely nailed It here. This record has all the rite ingredients. It is the perfect mixture of rhythm, horns & soulful organ. Blaxound have created the perfect bite of Soul Excitement.“ - Neal Sugarman (Daptone Records)“Solid AF arrangements brimming with soulful goodness. A very impressive album. Congrats!” - Shawn Lee
Eric Ghost 👻porte bien son nom car il est en effet un homme mystérieux. Ses propres albums sortis sur des pressages privé sont introuvables et à des prix 😱. Dans les années 60 il est le meilleur ami du Funky Jazzman Jeremy Steig ce qui en dit long sur son jeu de flûtiste.Ce chef-d’œuvre de jazz psychédélique a été enregistré en 1974/75 et met en vedette le bassiste Dave Valentin, Lincoln Goines dans ses débuts en studio ainsi que Jim McGilveray qui a enregistré avec Paul Horn et The Cult.Si vous êtes un fan de Jeremy Steig, alors cet album est pour vous. La musique est intense et demande votre attention, c’est à la fois Funky et Spiritual de la première note de "Orangeland" aux dernières notes de l’influence orientale "Bizarre Bazaar".Eric a été impliqué dans la Contre-Culture depuis son séjour au Maroc au début des années 1960 (alors qu’il servait dans l’armée américaine) peu de temps après l'enregistrement de cet album, il est arrêté dans une ville du nord de l'Etat de New York sous son vrai nom, Richard Barth Sanders coupable de fabrication de LSD la plus grande production à l'époque 1 million d'unités de dosage à 2$ pièce (il a inventé la méthode du papier buvard) il est condamné à 7 ans dans une prison fédérale.L’album est réédité avec la pochette originale avec l’ordre des titres correct pour la première fois.Eric Ghost is well named as he is indeed a mystery man. A contemporary (and best friend) of 1960's Funky Jazzman Jeremy Steig his self published Private Press albums are much coveted and difficult to obtain and command high prices.This Psychedelic Jazz masterpiece was recorded in 1975 and features Dave Valentin bassist Lincoln Goines in his studio debut as well as Jim McGilveray who went on to record with Paul Horn and The Cult.If you're a fan of The Blues Project "Flute Thing", Paul Horn's more esoteric offerings or indeed the aforementioned Jeremy Steig then this album is for you. The music is intense and demands your attention, it's both Funky and Spiritual from the first note of "Orangeland" to the last notes of the Eastern influenced "Bizarre Bazaar".Eric was involved with the Counter Culture from his time in Morocco in the early 1960's (while serving in the US Army, kind of like a Hip Elvis) until shortly after this album was recorded when under his real name, Richard Barth Sanders he was convicted of LSD Manufacture (he invented the blotting paper method of LSD distribution so could be entitled to say he was the world's first Acid Jazzer) and sentenced to 7 years in a Federal Prison.The album is re-issued with the original cover artwork with the correct track order for the first time.
L'album de Machine est un mystère. SorV en 1972 sur All PlaVnum Records, il a aussitôt disparu sans laisser de trace et seuls quelques exemplaires semblent avoir survécu. C’est à présent l'un des albums de funk les plus rares de la planète. L'album - connu seulement d'une poignée de collecVonneurs - aaeint des prix supérieurs à 5 000 $ les rares fois qu'un original est apparu, seulement quelques fois en vingt ans. Composé de trois jeunes musiciens de studio, le groupe joue un superbe mélange de funk militant et de soul chaude. Emmené par le chanteur et guitariste Michael Watson accompagné du bassiste CurJs McTeer et du baaeur Donald McCoy, l'album Machine est sorV tout droit des studios All PlaVnum du New Jersey où le label de Sylvia Robinson est alors installé. Les musiciens travaillaient pour le label depuis la fin des années 60, accompagnant principalement des groupes de label tels que Les Whatnauts. Le manager des Whatnauts, Bunch Herndon, fait d’ailleurs une appariVon sur l'album en tant que percussionniste. Outre le noyau des trois musiciens, le line-up de l'album comprend plusieurs autres musiciens cultes ainsi que l'orchestrateur Sammy Lowe, un professionnel chevronné qui avait travaillé pour Sam Cooke, James Brown et Nina Simone pour n'en nommer que quelques-uns. Ce solide groupe de musiciens concocte en studio une superbe poVon funk offrant le cadre parfait aux composiVons de Michael Watson. Sur la majeure parVe de l'album, il décide d’ailleurs d'ajouter une dimension sociale et poliVque à sa musique.L’album commence en force avec la bombe funk "Time Is Running Out" et son énorme groove mené par l'orgue Hammond de Ray Jones, renforcé par une puissante secVon de cuivres et des riffs de guitare implacables. Le Vtre est principalement instrumental à l'excepVon du refrain chanté ad-lib sur le formidable groove. La chanson est suivie de "Only People Can Save the World", une ballade poignante basée sur une structure similaire avec le refrain chanté sur un instrumental accrocheur. L'album conVnue sur la veine funk avec l'instrumental "Headhunter" comportant un autre groove explosif, suivi de "World", une chanson contestataire traitant de l'impact de la guerre du Vietnam sur la communauté afro- américaine. Le rythme ralenVt avec "Trails" avant de revenir à ses fondements funk sur l'instrumental "Lock Your Door" et de finir en beauté sur une note soul sixVes avec le Vtre "Boots in the Snow". Personne ne semble avoir d'explicaVon sur la raison pour laquelle cet album invisible est si rare, alimentant les rumeurs qu'il n'est en fait jamais sorV. On ne connaîtra sans doute jamais le fin mot de l'histoire, mais Wewantsounds se fait un plaisir de réparer ceae injusVce et de remeare en circulaVon ceae pépite funky pour le plaisir de tous les fans de soul et de funk. L'album est réédité ici dans sa pocheae originale et remasterisé par Colorsound Studio à Paris. Il comprend un encart de 2 pages avec de nouvelles notes de pocheae du journaliste anglais Charles Waring.Masterminded by singer and guitarist Michael Watson accompanied by bass player Curtis McTeer and drummer Donald McCoy, the album Machine came straight out of the New Jersey-based All Platinum studios where the label was based. The musicians had been active as session musicians for the label since the late 60s, mainly backing such label acts as The Whatnauts. As a matter of fact, the Whatnauts’ manager, Bunch Herndon, makes guest appearance on the album as percussionist. Beside the core group of Watson, McTeer and McCoy, the album's line-up features several other cult musicians and also the orchestrator Sammy Lowe, a seasoned professional who had been arranging for Sam Cooke, James Brown and Nina Simone to name just a few.This solid group of musicians worked their magic in the studio offering the perfect setting to Watson's compositions. On most of the album, Watson decided to add a social and political edge, a direction that was popular at the time with Marvin Gaye's 'What's Going On' and Curtis Mayfield's 'Superfly' having just been released to huge success. Kicking off the album is the Funk killer 'Time is Running Out' featuring a huge Hammond organ-led groove, enhanced by a powerful brass section and funky guitar licks. The song is mostly instrumental except for the refrain sung ad-lib over the formidable groove.The song is followed by "Only People Can Save the World" a soulful ballad based on a similar structure with the title sung over a catchy instrumental. The song is in fact the instrumental version of the Whatnauts' song of the same name which was also released in 1972. The album continues on the Funk vein with the instrumental "Headhunter" featuring another explosive groove, followed by "World," a protest song dealing with the impact of the Vietnam war among the African American community. The pace slows down with "Trails before going back to its deep funk foundations with the instrumental "Lock Your Door" and ending on a sixties soul note with the track "Boots in the Snow."Nobody seems to have an explanation as to why this elusive album is so rare fueling rumours it actually never came out. We will probably never know the full story of Machine, but Wewantsounds is glad to make up for this injustice and put this funky gems back into circulation for the pleasure of all the Soul and Funk heads.
La chanson des Echomen "Let’s Get Together" est apparue en premier sur le troisième volume de la série de compilation Movements (Tramp Records) il y a de nombreuses années. Malheureusement, ses paroles sont toujours d’actualité même 50 ans après son enregistrement
Matasuna Records" voyage en "Afrique du Sud" pour la première fois afin de rééditer deux superbes chansons Afro-/Jazzfunk du groupe "Freeway". Sorti en 1975 sur le label sud-africain "Flame", l’album "Abahambi – Balomhlaba" a été redécouvert et réédité par le label "Black Pearl Records" de Berlin en 2013. Pour la premiere fois Matasuna propose 2 morceaux en 45t issus de cet album, transféré des bandes originales et remasterisé au son comme jamais auparavant. Une sortie incontournable !
L'histoire de The Movers commence en 1967 en Afrique du Sud lorsque deux musiciens inconnus - les frères Norman et Oupa Hlongwane - approchent Kenneth Siphayi, un riche et élégant homme d'affaires du township d'Alexandra, pour lui demander s'il peut leur acheter des instruments de musique. En échange, il recevrait une part des futurs spectacles et contrats d'enregistrement. Kenneth a fini par faire bien plus : il est devenu leur manager, les a installés dans un local de répéJJon et leur a présenté un organiste qui s'est avéré être le chaînon manquant du son squeleMque du groupe. Il leur a également donné leur nom : The Movers... parce que, comme il l'a dit, leur musique allait vous émouvoir, que vous l'aimiez ou non. Le groupe a explosé sur la scène musicale du pays, marquée par la ségrégaJon raciale, à l'aube des années 1970, avec un son qui appliquait les grooves d'orgue roulant et les rythmes élasJques de la soul américaine à des chansons venues directement du cœur des townships. Les Movers ont fini par signer chez Teal Records en 1969, et leur premier album, Crying Guitar, s'est vendu à 500 000 exemplaires au cours des trois premiers mois, les propulsant au premier rang des groupes sud-africains. Au cours de leur première année, ils sont passés du statut de sensaJons locales à celui de premier groupe de Sud-Africains noirs à voir leur musique passer sur les staJons de radio blanches du pays. Bien que le premier disque soit enJèrement instrumental, The Movers a commencé à travailler avec différents chanteurs peu après - marquant un succès précoce avec le prodige vocal de 14 ans Blondie Makhene - et a enrichi sa pale[e sonore avec des cuivres, des percussions supplémentaires et divers claviers. Leur pale[e stylisJque s'est également élargie, incorporant des éléments de Marabi, de Mbaqanga, de jazz, de funk et de reggae dans leur son imprégné d'âme. Mais l'essence de leur musique vient de la connexion presque télépathique de leurs membres fondateurs : l'orgue frémissant de Sankie Chounyane, les lignes de guitare décontractées d'Oupa Hlongwane, les grooves de basse énergiques de Norman Hlongwane et les rythmes frémissants du ba[eur Sam Thabo. Le groupe a[eint son apogée au milieu des années 1970, et son tube "Soweto Inn", chanté par Sophie Thapedi, devient indissociable des révoltes étudiantes qui marquent une nouvelle résistance au gouvernement de l'apartheid. En 1976, cependant, leur manager est évincé et leur producteur commence à jouer un rôle plus acJf dans la direcJon du groupe. À la fin de la décennie, il ne reste plus aucun membre d'origine, mais à leur sommet, les Movers étaient des Jtans de la soul sud-africaine qui ont laissé un héritage de plus d'une douzaine d'albums et d'innombrables singles de pur groove. Sur The Movers 1970-76, Analog Africa présente 14 des meilleurs Jtres du groupe à son apogée.
Un superbe album de Jazz Latin Funk Soul enregistré en 1977 par Carlos Franzetti avec un groupe incluant le percussionniste Ray Mantilla, Victor Venegas à la basse et Dick Meza de l’orchestre Tito Puente, Carlos a joué tous les claviers, a écrit les morceaux et a également été responsable de tous les arrangements.Sorti par Guiness Records et rapidement oublié, il a été repris par les DJ’s au début de la scène Jazz Dance de Londres où "Cocoa Funk" est devenu un must, apparaissant finalement sur Soul Jazz Records re-issue de la série "London Jazz Classics". Il est également devenu un succès en Allemagne après avoir été réédité sur un double vinyle par le principal label Sonorama Records.Maintenant disponible à nouveau pour une somme raisonnable, dans son format d’origine et toujours la photo du décolleté de Farrah Fawcett 😊
Chef-d’œuvre entre blue-eyed soul et yacht rock, Black and White Raven est un album né du rêve de jeunesse d’Archie James Cavanaugh d’enregistrer sa propre musique au fin fond des régions sauvages de l’Alaska. Avec un casting fruit de voyages au nord-ouest de la côte Pacifique et qui réunit notamment Tony Bellamy et Pete DePoe de Redbone, ce premier album a été enregistré à la toute fin des années 70. Sorti en 1980 sur un pressage privé, le disque désormais ultra recherché, est resté à l’époque très confidentiel. Des traces de disco, de soul, de funk, de gospel et de schooner rock se mêlent librement à son héritage tlingit, ethnie indigène du sud-est de l’Alaska, créant un portrait optimiste et désinvolte de la vie dans le 49e État.
Le dernier et le plus monumental chapitre de la carrière de Lou Ragland à Cleveland, Understand Each Other, fait office de chef d’œuvre spirituel de générations de sommités de la soul de la ville, surnommée Forest City. L’album s’ouvre sur la chanson-titre « Understand Each Other », engagée socialement, soutenue par toute la puissance du Cleveland Orchestra, qui se mesure à « What’s Going On » de Marvin Gaye, tant dans sa mission que dans son mixage. Ce pressage à l’occasion du 45ème anniversaire du disque contient de nouveaux remasters à partir des bandes d’origine dans une jaquette présentant le croquis de Remus Peterson, sur lequel Lou Ragland implore en pacificateur un tigre à dents de sabre et une colombe de « se comprendre ».
À ne pas confondre avec le groupe de funk commercial anglais, le trio Hot Chocolate de Lou Ragland a émergé de la scène de Cleveland au début des années 70, propulsé par sa propre recette de R&B groovy. Sous une pochette reproduisant la bande dessinée de Dick Dugan, Numero Group est fier de présenter la première réédition américaine de cette pierre angulaire de Cleveland depuis sa sortie originale ; une pleine tasse fumante de morceaux plus funky que jamais de l’incomparable répertoire de Ragland. Après tout, le funk doit être servi très chaud !Edition Limitée Vinyle Chocolat (EAN 825764608428)
Comme d'autres joyaux italiens rares, La Novizia de Berto Pisano a longtemps été considérée comme perdue avant que l'équipe du label ne la sauve, la restaure et la remasterise à partir des bandes originales. Et c'est l'une des meilleures choses, si ce n'est la meilleure, du film La Novice se Dévoile de 1975 pour lequel elle a été écrite - une comédie érotique, avec la jeune et fascinante Gloria Guida, aux accents mélodramatiques réalisée par Giuliano Biagetti. Collaborateurs de longue date, Biagetti et Pisano avaient déjà travaillé ensemble sur Les Allumeuses (Interrabang) et La Svergognata... Le faible budget du film a obligé Pisano à faire de la nécessité une vertu. Plutôt que d'utiliser un grand orchestre et des cordes (comme on le sait, il était un brillant chef d'orchestre et arrangeur de cordes), il s'est appuyé sur un ensemble plus petit - presque un ensemble de chambre, mais avec une section rythmique de jazz - pour créer des paysages sonores sensuels de fin de soirée qui dégagent une ambiance downtempo. En un mot : une musique douce, chaude et veloutée. La quintessence du son lounge. Par moments, les voix chuchotées et sexy d'Edda Dell'Orso (omniprésente à l'époque) flottent rêveusement sur une batterie brossée, une basse, des guitares et des pianos électriques. À d'autres moments, on retrouve des poids lourds de l’illustration sonore italienne comme Alessandro Alessandroni (dont on entend le sifflement caractéristique dans "Canto Notturno") et même des influences rock psychédéliques, comme dans les guitares distordues à l'acide, la batterie furieuse et les synthés fous de "Free Dimension". À d'autres moments encore, nous sommes amenés sur un terrain plus easy-listening - "Fiore Rosso", par exemple, offre un exemple merveilleusement cinématographique de bossa nova méditerranéenne plutôt que brésilienne (ont-ils déjà pensé à utiliser un clavecin épinette au Brésil ?). Le secret du charme de La Novizia est qu'il résume le son érotique italien des années 70 dans toutes ses nuances, du morbide au pudique en passant par le naïf. Car oui, c'est un disque de nuances et de musicalité. Et si les thèmes sont en eux-mêmes simples, la qualité fantastique de l'écriture, des arrangements et de la production témoigne du superbe talent, du style et du professionnalisme de Berto Pisano. Enfin de retour à la vie après des décennies d'obscurité, La Novizia est un objet de toute beauté - qui, comme l'a dit un jour un homme assez brillant, est une joie éternelle. Ne passez pas à côté de cette joie. L’album présente une illustration originale d'Eric Adrian Lee et des notes exclusives de la famille Pisano. Tous les titres sont inédits, jamais sortis sur aucun format.
Wewantsounds est heureux de présenter la première rétrospective sur vinyle de Saravah, l'un des labels français les plus influents, fondé par le chanteur, compositeur et producteur Pierre Barouh. Incluant Brigitte Fontaine, Jacques Higelin, Alfred Panou, ainsi que de nombreux autres, la sélection donne un aperçu du son du label se concentrant sur la période 1965-1976. Supervisé par Benjamin Barouh, ce disque inclut un texte de ce dernier ainsi qu‘une interview exclusive par Jacques Denis de Fernand Boruso, partenaire et homme de l’ombre de Pierre Barouh, qui retrace l’histoire du label aux travers de passionnantes anecdotes. Chanteur en vue au début des années 60, Pierre Barouh accède à la notoriété en 1966 grâce au film Un Homme et Une Femme de Claude Lelouch. En effet en 1965, il enregistre à Rio à la demande de Vinicius de Moraes une version française du "Samba da Bênção" avec Baden Powell sur un petit revox, rebaptisée "Samba Saravah". De retour à Paris, il joue le titre à son ami Lelouch qui en tombe amoureux et décide de l’inclure dans le film où Pierre joue son propre rôle et dont il signe le B.O avec le compositeur Francis Lai. La suite est connue : le film et la B.O. sont d’énormes succès, mais au lieu de surfer sur celui-ci, Pierre Barouh développe la maison d'édition Saravah, avec son associé et ami Fernand Boruso, en label et studio d'enregistrement afin de produire les projets qui leur prennent à cœur d'une façon originale et indépendante. De par leurs relations dans le cinéma, ils tombent en 68 sur BrigiMe Fontaine et Jacques Higelin qui font alors des vagues dans l'underground parisien et viennent d’enregistrer "Cet Enfant Que Je T'avais Fait" en B.O. du film de Christian Gion, "Les Encerclés". Saravah les signe sur le champ et le titre, arrangé par Jean-Claude Vannier, devient culte. L’album Comme À La Radio suit en 69 avec l'Art Ensemble of Chicago. Ces derniers qu’on retrouve sur "Mystfying Mama" de Marva Broome et "Je Suis Un Sauvage" d'Alfred Panou, acteur et chanteur africain qui avait travaillé avec Jean-Luc Godard notamment. Pierre Barouh est aussi un pionnier des musiques du monde après avoir passé du temps au Brésil. Il sortira entre autres, deux albums du chanteur gabonais Pierre Akendengue, dont Africa Obota en 76 avec le ]tre "Orema Ka-ka-ka". Avec Fernand Boruso, Saravah s’investit dans le jazz avec la série Pianos Puzzle dont sont issus "Tchac Poum Poum" de René Urtreger, "Trane's Call" de Georges Arvanitas et "Sicilienne" de Maurice Vander. Le label explore aussi des versants plus free et expérimentaux du jazz avec les disques du Baroque Jazz Trio, de Michel Roques ou du Cohelmec Ensemble. La sélec]on comprend également des singles rares de l’actrice et chanteuse Béatrice Arnac (alors compagne de Boruso) avec le jazzy "Le Bruit et le Bruit" ainsi que "Je Jouais le Piano" de Jacques Higelin, l'un des premiers titres enregistrés pour le label et qui n'a jamais été réédité. La sélection se termine par le duo envoûtant de Pierre Barouh et Baden Powell, avec "Saudade (Un Manque Habité)" enregistré en 1965 en une prise lors de la même session de Rio que "Samba Saravah". L'aventure laissera néanmoins un corpus riche et fascinant dont l'influence s’accroit au fil des décennies.
1979 Free Love super Rare Soul album The only soul album released on LA-based Emkay Records by Marcus Kelly and Westmoreland Co. This group was led by Philip Westmoreland & was from St Louis. Produced by Kent Washburn & Oliver Saincréditsparaît le 3 juin 2022 Producer, Arranged By, Organ [Hammond B-3], Saxophone, Flute – Oliver Sain Producer, Arranged By, Saxophone, Flute – Kent Washburn Arranged By, Guitar – Phil Westmoreland Arranged By, Keyboards – William Bickelhaupt Backing Vocals – The Georgettes Bass – Tom Zuzenak (tracks: A2, A3) Bass Guitar – Paul Jackson Drums – Mike Grimes Engineer – Bill Olszewski, Steve Litman Percussion – Tom Roady Saxophone, Flute – Tyrone Perry Trumpet, Flugelhorn – David Hines, Oliver Johnson , Tyler Ludi Vocals – Marcus Kelly
"The Seventh Son » sort en 1980 sur RA Records et il est devenu un véritable « Holy Grail » pour quiconque collectionne le Jazz Spirituel, cette réédition est tout simplement à ne pas manquer !!!Malachi Thompson habite à Chicago quand il est enfant, son goût pour la trompette lui vient rapidement lorsqu’il as seulement 11 ans.Adolescent, Malachi a travaillé dans la scène rythmique et blues du South Side de Chicago. En 1968, il se joint à l’Association for the Advancement of Creative Musicians (AACM), où il passe du temps dans le big band de cette organisation. Thompson a travaillé avec les saxophonistes Joe Henderson, Jackie McLean, Frank Foster et Archie Shepp lorsqu’il vit à New York. Il forme son groupe Freebop en 1978, puis déménage à Washington, D.C.Thompson travaille également avec la Hot Trumpets Repertory Company de Lester Bowie et forme Africa Brass, un groupe inspiré des fanfares traditionnelles de la Nouvelle-Orléans. Dans le but de préserver le Sutherland Theater sur le côté sud de Chicago, Thompson a fondé la Sutherland Community Arts Initiative, une société à but non lucratif, en 1991. Il a également écrit de la musique de scène pour une pièce de théâtre.Informé en 1989 qu’il souffrait d’un lymphome à cellules T et qu’il lui restait un an à vivre, Thompson affirme avoir été guéri par les radiations et la lecture sur le jazz. Il est décédé à Chicago, dans l’Illinois, d’une rechute de son cancer en 2006."The Seventh Son" was originally release in 1980 on RA Records and became a true Jazz Holy Grail. For anyone collecting Spiritual Jazz this reissue is simply not to be missed. Malachi Thompson moved to Chicago as a child and credited his interest in the trumpet when he was 11 years old. Malachi worked in the rhythm and blues scene on Chicago’s South Side as a teen. In 1968, he joined the Association for the Advancement of Creative Musicians (AACM), spending some time in the AACM big band. Thompson worked with saxophonists Joe Henderson, Jackie McLean, Frank Foster, and Archie Shepp among other musicians while living in New York City. He formed his Freebop band in 1978, and eventually relocated to Washington, D.C. Thompson also worked with Lester Bowie's Hot Trumpets Repertory Company and formed Africa Brass, a group inspired by traditional New Orleans brass bands. With a goal of preserving the Sutherland Theater on Chicago's South Side, Thompson founded the Sutherland Community Arts Initiative, a non-profit corporation, in 1991. He also wrote incidental music for a play about the theater. Informed in 1989 that he suffered from T-cell lymphoma and had one year to live, Thompson claimed he was healed by radiation and reading about jazz. He died in Chicago, Illinois from a relapse of his cancer in 2006.
Après la remarquable discographie de Harry Roesli, le label indonésien La Munai a déniché un nouveau joyau oublié de pop vintage de son coin de pays pour le faire découvrir au monde, et le monde lui en sera reconnaissant. Paru en 1971 sous étiquette Polydor Singapour, il s’agit du dernier album éponyme de Yanti Bersaudara, le trio vocal sundanais des sœurs Yani, Tina et Parlina Hardjakusumah.La formation qui les accompagne vaut à elle seule le prix d’achat, avec son orgue riche et scintillant, ses jolies guitares avec juste ce qu’il faut de réverbération chatoyante et, ici et là, un vibraphone aérien. Mais les vedettes sont bien entendu les trois sœurs, dont les voix sont absolument charmantes, individuellement, et tout aussi délicieuses en trio, comme sur l’exquise Tekad Pahlawan.Les mélodies sont basées sur l’échelle heptatonique appelée pelog, gamme que les amateurs de gamelan connaissent bien, et vont de l’enjouée Badminton à l’émouvante Bandung (un hommage bien senti à leur ville natale, la capitale provinciale du Java Occidental), en passant par les sublimes Lembur Kuring et Bulan Dagoan. Mais si l’auteur de ces lignes devait choisir une chanson parmi les onze présentées ici, ce serait la légère et ravissante Leungiteun, avec sa touche de rocksteady jamaïcain.Certaines rééditions de disques obscurs qui remontent à plusieurs décennies constituent des documents d’archives intéressants et souvent divertissants, sortes d’instantanés déformés de la période qui les a vu naître. D’autres, cependant, comme celle-ci, sont d’une merveilleuse intemporalité, et La Munai honore cette musique et récompense les mélomanes du monde entier en la maintenant bien vivante.Article écrit par Rupert Bottenberg
En association avec DJ Amir et 180 Proof Records, BBE Music présente fièrement « Strata Records – The Sound of Detroit – Reimagined by Jazzanova », une toute nouvelle célébration de l’empreinte emblématique.Comment le collectif de production berlinois Jazzanova réinvente-t-il les chansons de l’emblématique label de Detroit Strata ? « Je ne pouvais pas penser à un groupe plus parfait pour faire ce travail », dit DJ Amir au sujet de Jazzanova, une combinaison de DJ, de collectionneurs de disques et de musiciens, « parce qu’ils ont apporté la passion et l’amour au projet, parce qu’ils connaissent la musique et l’aiment. Et en plus, ils savent jouer. » Ce jumelage improbable et pourtant idéal est le résultat de plusieurs années de travail et de passion d’Amir Abdullah, DJ et label-head pour 180-Proof Records qui, en 2011, a commencé à rééditer le catalogue révolutionnaire de Strata Records et des joyaux inédits des chambres fortes. On Strata Records – The Sound of Detroit – Reimagined by Jazzanova, DJ Amir et Jazzanova insufflent une nouvelle vie à onze titres triés sur le volet du catalogue Strata pour les amateurs d’enregistrements historiques et de nouvelles oreilles.
LA COMPILATION DE RARETÉS DE L’ORCHESTRE MENÉ PAR L’ICÔNE DE LA CULTURE GABONAISE MACK-JOSSDES TITRES ENREGISTRÉS ENTRE 1978 ET 1986 ET METTANT EN VEDETTE LE CHANTEUR GUINÉEN AMARA TOURÉÉDITION LIMITÉE VINYLE GATEFOLD 180 GR AVEC LIVRET.Jean-Christian Mboumba Mackaya, dit Mack-Joss, était le fondateur du célèbre Orchestre Massako. Adepte des rythmes folkloriques, Mack-Joss débute sa carrière de musicien à l'âge de 17 ans et s'impose rapidement comme un arKste essenKel de la scène nocturne de Libreville, la capitale du Gabon, en chantant dans divers groupes locaux. En 1966, il sort "Le Boucher", son premier tube qui fait le tour des ondes africaines et lui vaut le respect de Franco, le légendaire maître de la rumba congolaise. Les encouragements de Franco contribuent à le faire passer du statut de chanteur gabonais à celui de figure montante de la culture panafricaine. Entre 1968 et 1970, Mack-Joss et le Negro-Tropical immortalisent un bon nombre de singles enregistrés dans des studios de fortune en plein air. En 1971, les forces armées gabonaises décident de former leur propre groupe. Mack-Joss est recruté pour devenir le leader du groupe et c'est ainsi qu’est né l'Orchestre Massako qui devint l'orchestre naKonal du Gabon. À la fin des années 1970, des fonds sont débloqués pour faire venir du matériel d'enregistrement depuis la France. Le Studio Mobile Massako prend forme et les talents de compositeur de Mack-Joss lui permeZent d'enchaîner les succès. Les bandes originales des enregistrements sont envoyées à Paris pour être mixées, Mack-Joss faisant lui-même le voyage jusqu’en France, transportant les bobines dans son bagage à main. Les disques vinyles sont ensuite pressés en France et renvoyés au Gabon, ainsi qu'à d'autres distributeurs sur le conKnent. Une douzaine d'albums ont été enregistrés entre 1978 et 1986 et la plupart sont sorKs sur Mass Pro, le label de Mack-Joss. Quelques-uns de ces enregistrements meZent en vedeZe un chanteur de Guinée Conakry du nom d'Amara Touré qui avait rejoint l'Orchestre Massako en tant que chanteur en 1980 et était devenu un ingrédient important du succès du groupe. Sa voix spécifique, immédiatement reconnaissable, ne laisse personne indifférent - en témoignent les fans de la compilaKon Amara Touré (Analog Africa, 2020). La retraite de Mack-Joss en 1996 a marqué la fin de l'Orchestre Massako. Avec une carrière de quatre décennies, sa contribuKon à la culture gabonaise est considérable et conKnue d'inspirer le respect et la dévoKon de ceux qui l'ont connu.
"DECADE", the sixth album by Calibro 35, the legendary cinematic funk combo sampled by Dr. Dre and Jay-Z, gets a reissue on ltd edition Crystal Yellow vinyl and digital "deluxe" edition with bonus tracks
Four Flies continue de fouiller dans les archives secrètes d’Alessandro Alessandroni pour mettre en lumière les trésors cachés.Après deux sorties réussies l’EP "Afro Discoteca" et la compilation "Lost & Found", c’est au tour d’un nouveau single avec deux titres à forte influence soul-funk, chantés par le maestro Cantori Moderni dans un style typiquement italien, entre gospel et disco.Les deux titres sont inédits et ont été enregistrés dans les mêmes sessions en 1976 qui ont donné naissance à "Sangue di sbirro" (Knell, Bloody Avenger), sa bande originale la plus blaxploitation.
Entre les années 60 et 80, Albert Verrecchia a joué un rôle majeur dans la musique pop italienne et dans le disco européen et la scène afro-cosmique, tant sous son propre nom que sous les noms Albert Weyman et Albert Prince. Il a été le claviériste du légendaire groupe italien-français r’n’b "Pyranas", a servi de d'organiste de session pour la chanteuse et vedette de télévision Raffaella Carrà, et a produit le trio disco "Belle Epoque" ainsi que le premier album de l’auteur-compositeur Alan Sorrenti.Parmi ses nombreuses incarnations, au début et au milieu des années 70, il a également composé quelques bandes sonores pour le cinéma de genre italien, y compris pour des films tels que le poliziottesco Roma drogata, la polizia non può intervenire (Hallucinating Trip, 1975, Lucio Marcaccini) et le drame érotique Tecnica di un amore (1972, Brunello Rondi).La partition qu’il a écrite en 1975 pour Il tempo degli assassini (Season of Assassins, un film sur une bande de jeunes criminels qui terrorisent la ville de Rome dans les années 70 déjà violentes) est certainement son œuvre la plus accomplie dans le genre.Conçu pour un petit ensemble, il a écritpresque entièrement sur place dans pendant l’enregistrementstudio. Verrecchia lui-même joue du Moog, etson approche dynamique et percussive de l'instrument a abouti à un style à mi-chemin entrefunk et proto-disco. Un style rythmique moderne "Ritmico Moderno", qui est le titre choisi par la CAM pour le LP de la B.O. et sorti deux ans plus tard dans le cadre d’une série promo de "Library Music" distribuée uniquement aux professionnels du cinéma et aux programmeurs de radio et de télévision (série CML, cat. no. 131).On est porté à se demander si c’est grâce à ce LP que, en 1977, trois pièces de la bande originale ont trouvé leur place dans un autre film sur les gangs de jeunes, l’espagnol Perros callejeros (Street Warriors), écrit et réalisé par Jose Antonio de la Loma.De plus, mais c’est important, il y a le bonus de l’artiste populaire des années 70 et 80, Sammy Barbot, qui chante sur « Gang Leader » aux côtés du groupe vocal féminin Baba Yaga. Quel dommage que la carrière de compositeur de Verrecchia se termine ici !
Woo-hoo ! Deux des meilleurs Rares Grooves Italiens sont enfin de retour sur 7'' pour la première fois depuis leur sortie originale française sur ce format ! Tous deux sont issus de la bande originale la plus emblématique des années 70 (le LP est maintenant un graal pour les collectionneurs), la partition d’Armando Trovajoli à la comédie sexuelle anthologique de Dino Risi Sessomatto (1973) mettant en vedette Laura Antonelli et Giancarlo Giannini.Dans la chanson-titre, l’influence du succès afro-funk de Manu Dibango, « Soul Makossa », est filtrée et enrichie par une approche italienne exquise, avec une base de funk 'n' groovy (le super break de batterie mi-chanson est un favori des DJ depuis des décennies) sur lequel Edda Dell’Orso rit etrépète encore et encore les mots « sesso » et « matto ». La samba électronique sauvage et amusante « Kinky Peanuts » sur la face B est un merveilleux exemple de « musique étrange et incroyable », avec des thèmes et des runs Moog infectieux et originaux.
Nouvelle sortie du label Espagnol Rocafort avec une sélection du célèbre label Colombien "Discos Fuentes", trois 45T gravés de Sound Système tropical vintage dans le genre cumbia. Il se trouve que ces six morceaux sont considérées comme des classiques de la scène « sonidero » mexicaine depuis les années 1970. Ce n’est pas difficile de voir pourquoi, puisqu’ils feront danser tout le monde qu’ils sachent ce qu’est une cumbia ou non. Cependant, la plupart des 45 exemplaires originaux de cette époque sont très difficiles à trouver, beaucoup trop chers, ou ont été abusés (certains avec les étiquettes centrales effacées), alors nous présentons ici avec cette collection votre propre « starter pack » sonidero avec son remasterisé et des notes qui racontent l’histoire derrière les pistes
Un disque obscure (Private-Press) enregistré en 1977, par un groupe du sud de la Floride composé d’un trio de musiciens Ben Champion, Ken Burkhart et Danny Burger.Invité spécial dans les notes de la pochette Mike Longo écrit tout le bien qu’il pense sur ce groupe.Le morceau de 20 minutes « Jazzberry Patch » qui ouvre la Face A du disque est une explosion de groove entre un Fender Rhodes et un Hammond B3. Un disque indispensable et enfin abordable vu le prix d’un original. Il faudra attendre fin juillet pour cette pépite mais Jazz Room est le label qu’il faut suivre en ce moment et je vous invite à decouvrir le reste de son catalogue pour patienter.
Universounds, HMV Record Shop et 180g s’associent pour une sortie exceptionnelle : du hard bop flamboyant au free jazz, en passant par des solos de saxophone introspectifs et des sons de big band massifs, Yusuke Ogawa, célèbre spécialiste du jazz japonais, présente une collection essentielle de 14 titres « WaJazz » musique tirée des voûtes de Nippon Columbia. Avec Jiro Inagaki, Minoru Muraoka, Hiroshi Suzuki, Hozan Yamamoto, Count Buffalo, Takeshi Inomata, et bien plus encore !
Un album totalement obscur de Youngstown, Tony Lavorgna de l’Ohio et son groupe de la fin des années 70 au début des années 1980 : The St. Thomas Quartet. Une mixture d'influences Jazz & Soul avec des reprises inspirées.Une version orgue Hammond Soul Jazz de "Chameleon" d’Herbie Hancock, de dix minutes qui vous laissera sans voix car David Thomas sur la B3 est absolument inspiré sur ce titre monstrueux. Cela vous fait vous demander pourquoi sur terre il n'y a plus plus de joueurs d'orgue inspirés par ce morceau légendaire ?L’autre choix inspiré est "The World Is A Ghetto" de War qui doit être l’une des versions les plus "funkiest" de ce morceau très repris. Un sax émouvant du leader Lavorgna indique la voie pour le reste du groupe, des contributions émouvantes et jazzy avec à nouveau l'Hammond de David Thomas avec ses riffs trempés de funk.Tony Lavorgna est aussi un personnage, son histoire de vie est disponible sous forme de Comic Book sous le titre "Bebopman" de l’écrivain américain Splendor Harvey Pekar.
TRAMP RECORDS est extrêmement fier de présenter un trésor unique pour célébrer leur 100e réalisation.Sorti à l’origine en tant qu’ACETATE à deux exemplaires, ce n’est pas seulement du jazz-funk spirituel aussi bon qu’il puisse l’être, mais certainement l’un des disques les plus rares du genre.Une sortie éffective le 08.10.21 rapidement épuisée (uniquement 500 exemplaires), un second pressage est prévu en exclusivité pour le distributeur Kudos en Angleterre, sortie prévue pour le 22.04.22
Si Il y a bien un label pour qui les collectionneurs de vinyles sont impatients de connaître les prochaines sorties dans la categorie « Holy Grail", c’est bien JAZZMAN Records ! Dans la recherche de trésor oublié discographique des années 70, Gérald le fondateur du label créer il y a plus de 20 ans, nous offre la possibilité d’écouter des disques sans vider son compte en banque.Jazzman as déjà effectuer des sorties d’albums qui dans les années 70 n’ont pas eux la notoriété espérée à savoir ceux de "Sounds of the City Experience" et "Ricardo Marrero ».Aujourd’hui c’est avec une grande satisfaction que le label est fier de présenter l'album "Disco Party » du groupe « Reality », pour la toute première fois en accord avec les membres survivants du groupe. Peut-être la plus obscure sortie du catalogue de TSG records, "Disco Party" n'est pas du tout "disco", d'ailleurs c'est une excursion complète dans le funk et le disco-jazz du milieu des années 70, interprétée par un groupe de musiciens experts à l'apogée de leurs arts. Enregistré pendant une longue session à New York, jusqu'à présent, le chef d'orchestre Dr. Otto Gomez et le reste de son équipe n’avaient jamais entendu les enregistrements qu'ils avaient faits il y a près de 50 ans.En effet, aucun membre du groupe ne savait même que leur album était sorti !
Si vous avez l’un de ces titres incroyablement rares alors un signe de tête du chapeau à vous. Ce LP comprend des morceaux des deux 45 sorties en 70's et les meilleurs titres du très beau et schizophrène LP super rare de Melvin miller et Finley Martin’s band connu sous le nom de Premonition and Premonitions. Deefunk, Deepsoul, Disco et plus encore...
Brief Encounter, le groupe de Soul du nord de Wilkesboro en Caroline du Nord (U.S) se forme dans les années 1970. Ils enregistrent jusque dans les années 90 avec divers labels. Nous sommes en 2021 et le label Athens Of The North contact et travail avec les membres du groupe Montie & Gary Bailey (qui ont même fait une visite en Écosse). Le résultat de cette belle coopération aboutie à cette dernière compilation de leurs singles les plus rares et inconnus quand ils étaient connus sous le nom de "Sounds Of Soul". Jamais un pas de travers, pas une mauvaise piste à écouter, avec l'un des meilleurs groupes de soul des années 70.