The Notations
Still Here (1967-1973)

Le superbe album instrumental de Marta Romàn et de son groupe The Blaxound est une brillante collection de soul cinématographique, de grooves changeants et de beaux arrangements de cuivres. Fortement recommandé par Neal Sugarman & Shawn Lee.Les Blaxound viennent de Barcelone et sont le projet autour de la très talentueuse Marta Romàn, qui écrit toutes les chansons elle-même, les produit dans son propre studio d'enregistrement et les termine avec l'aide de grands musiciens de la scène musicale locale. Particulièrement accrochée aux bandes sonores des films Blaxploitation des années 60 et 70, elle crée son son et s'appuie sur des arrangements de haute qualité. Le bon sentiment flotte immédiatement vers vous et laisse des traces dans votre canal auditif. Avec neuf morceaux matures sur leur album instrumental, The Blaxound touche le cœur des amis du funk instrumental et de la musique soul, un must pour les fans de Daptone !“Blaxound absolutely nailed It here. This record has all the rite ingredients. It is the perfect mixture of rhythm, horns & soulful organ. Blaxound have created the perfect bite of Soul Excitement.“ - Neal Sugarman (Daptone Records)“Solid AF arrangements brimming with soulful goodness. A very impressive album. Congrats!” - Shawn Lee

We Want Sounds frappe très fort en ce début d’année 2020 avec la réédition de la B.O. « imaginaire » de The Adventure Of Kohsuke Kindaichi par un mystérieux groupe mené par Kentaro Haneda, et intitulé justement The Mystery Kindaichi Band.Kosuke Kindaichi est un personnage littéraire japonais qui est apparu au milieu des années 40. Et s’il y a bien eu un film en 1979, nommé The Adventure Of Kohsuke Kindaichi réalisé par Nobuhiko Obayashi, cette B.O, a été réalisée en 1977. Elle serait celle de la série télévisée qui était diffusée à la même époque et non du film. Qu’importe. Ce qu’il faut savoir c’est que Kentato Haneda s’est entouré de toute la crème funk du japon de l’époque pour réaliser cet album.Et cela s’entend ! Tous les titres sont un condensé de disco funk de très haute volée. Un groove typiquement seventies, parsemé de cordes luxuriantes, de chœurs féminins aériens et même de solo de guitare saturée. Le disque était devenu culte et cela se comprend.Même s’il avait connu des rééditions plus ou moins officielles, celle de We Want Sounds est la première en dehors du Japon. De plus, les titres sont remasterisés à partir des bandes originales, et l’album comporte des illustrations du célèbre illustrateur Ichibun Sugimoto, ainsi qu’ un livret de 4 pages avec une nouvelle introduction du journaliste britannique Anton Spice.